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Cette intervention s’adresse aux femmes âgées de 18 ans et plus souhaitant augmenter le volume ou améliorer la forme de leurs seins. Elle est particulièrement indiquée pour celles qui souhaitent :

• Obtenir une poitrine plus volumineuse, plus ferme et plus harmonieuse.
• Corriger une perte de volume ou de fermeté survenue après une grossesse, une perte de poids significative ou en raison du processus naturel de vieillissement.

De plus, l’augmentation mammaire à Villefranche peut offrir une solution adaptée aux femmes présentant des anomalies mammaires, telles que :

• Aplasie mammaire (absence ou développement insuffisant des seins).
• Asymétrie mammaire, avec des différences notables entre les deux seins.
• Malformations congénitales, comme le syndrome de Poland ou les seins tubéreux.

Cette chirurgie permet ainsi de répondre à des besoins esthétiques ou reconstructeurs, en tenant compte des attentes et de la morphologie de chaque patiente.

Un implant mammaire peut être inséré via différentes incisions, mesurant seulement quelques centimètres, réalisées à divers endroits :

Le lipofilling mammaire repose sur l’utilisation de petites incisions pour insérer des canules. Ces canules permettent de prélever la graisse dans les zones donneuses du corps et de la réinjecter avec précision dans la poitrine.

Pour la pose d’un implant mammaire, vous avez le choix entre trois emplacements :

・sous la glande mammaire (position rétroglandulaire)

・sous le muscle pectoral (position rétro-pectoral)

・ou dans une combinaison des deux (dual plane)

Lors du lipofilling, le tissu adipeux est injecté sous la peau, au niveau de la glande mammaire, tout en préservant l’intégrité du muscle sous-jacent.

Les implants mammaires se déclinent dans une large variété de tailles, formes, surfaces et contenus pour répondre aux besoins spécifiques de chaque patiente. Bien qu’ils soient tous enveloppés de silicone, leurs caractéristiques permettent d’adapter parfaitement le résultat final aux objectifs esthétiques et aux particularités morphologiques.

Formes des implants : ronds ou anatomiques

• Implants ronds :
  Ces implants offrent une répartition uniforme du gel de silicone, créant une symétrie notable et davantage de volume dans la partie supérieure du sein. Ce design est idéal pour obtenir un décolleté prononcé et une augmentation de volume significative. Ils sont particulièrement adaptés aux femmes présentant une ptose mammaire ou souhaitant une forme plus arrondie et généreuse.
• Implants anatomiques :
  Conçus pour imiter la forme naturelle du sein, ces implants ont une base plus pleine et un dessus plus fin. Ils sont souvent choisis par les femmes recherchant une apparence plus discrète et naturelle. Leur profil permet de mieux s’adapter à certaines situations cliniques, telles que le syndrome de Poland ou les seins tubéreux, grâce à la possibilité de sélectionner non seulement la largeur mais aussi la hauteur de l’implant.

Tailles et personnalisation

Les implants couvrent une gamme de tailles variée, allant des volumes les plus modestes aux plus importants. Ce choix permet de personnaliser l’augmentation mammaire à Villefranche en fonction des attentes esthétiques de la patiente et des conseils du Dr Stivala.

Types de surfaces : lisses ou micro-texturées

• Micro-texturées :
  Ces surfaces de dernière génération, conformes au nouveau règlement européen sur les dispositifs médicaux, réduisent le risque de complications comme la contracture capsulaire.
• Lisses :
  Elles offrent d’autres avantages en fonction des indications spécifiques.
  ⚠️ Macro-texturées : Ces surfaces sont interdites à la vente en raison d’un lien potentiel avec le BIA-ALCL (lymphome anaplasique à grandes cellules associé aux implants mammaires).

Contenu : gel de silicone cohésif

Les implants modernes sont remplis de gel de silicone cohésif, offrant :

• Une texture naturelle et agréable au toucher.
• Une grande sécurité : en cas de rupture, le gel reste contenu à l’intérieur de l’enveloppe, limitant les risques.

Un choix guidé par des critères esthétiques et médicaux

La forme, la taille, la surface et le contenu des implants seront déterminés en fonction :

• Des préférences esthétiques de la patiente.
• De sa morphologie.
• Des recommandations personnalisées du Dr Stivala, pour garantir un résultat harmonieux et sécurisé.

Résultats de l’augmentation mammaire : selon la méthode choisie

Les résultats d’une augmentation mammaire à Villefranche dépendent de la technique utilisée :

Implants mammaires

Les résultats sont immédiatement visibles après l’intervention, bien qu’ils évoluent progressivement. Les seins atteignent leur forme et leur position définitives après 3 à 6 mois, avec une stabilisation complète en environ un an.

Lipofilling mammaire

Les résultats peuvent être variables, car une partie de la graisse injectée peut être résorbée au cours des 4 premiers mois. Selon les besoins individuels et les objectifs de volume, des séances supplémentaires peuvent être nécessaires pour obtenir le résultat souhaité.

Augmentation mammaire hybride

Cette approche combine implants et lipofilling pour un résultat immédiat et harmonieux.

• Le volume global est principalement déterminé par l’implant.
• La graisse injectée est utilisée pour masquer les contours de l’implant et améliorer l’apparence du décolleté.

Séances d’injection

Dans la majorité des cas, une seule séance d’injection est suffisante, sauf exceptions particulières liées aux besoins de la patiente.

Prise en charge des cicatrices après augmentation mammaire à Villefranche.

Les cicatrices sont positionnées le long des plis naturels du corps pour maximiser leur discrétion. Toutefois, il est crucial de les protéger du soleil pendant au moins un an en appliquant une crème solaire à indice de protection élevé (SPF 50+).

Pour optimiser la qualité des cicatrices, le Dr Stivala utilise régulièrement le laser UrgoTouch®, une technologie avancée permettant d’améliorer leur apparence.

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Il est courant de ressentir une gêne, parfois accompagnée de douleurs, qui peuvent se manifester sous forme de courbatures dans les premiers jours suivant l’intervention.

Pour minimiser ces inconforts, un plan de traitement personnalisé sera mis en place après l’opération, garantissant une gestion optimale de la douleur.

Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés pour les sutures, supprimant ainsi la nécessité d’agrafes ou de fils visibles. Seules de petites boucles aux extrémités de la cicatrice sont maintenues en place pendant environ 15 jours pour favoriser une cicatrisation optimale.

Dans la majorité des cas, aucun drainage n’est nécessaire, sauf dans des situations particulières.

Comme toute intervention chirurgicale, une augmentation mammaire comporte des risques de complications. Le Dr Stivala sera à vos côtés pour vous accompagner et proposer des solutions adaptées si nécessaire.

Il est important de distinguer :

1. Les suites post-opératoires normales :
   • Hématomes.
   • Gonflements.
   • Courbatures.
   • Perte temporaire de sensibilité au niveau des mamelons.
2. Les risques à court terme :
   • Infection des implants et/ou de la graisse.
   • Retards de cicatrisation.
3. Les risques à long terme :
   • Asymétrie mammaire.
   • Formation de coques autour des implants (contracture capsulaire).
   • Formation de plis au niveau des implants.
   • Rupture des implants.

Une évaluation attentive et un suivi rigoureux permettent de minimiser ces risques et d’assurer une prise en charge optimale.

Les avantages de l’augmentation mammaire à Villefranche par implants

• Gain immédiat et durable de volume, entièrement personnalisable en fonction des désirs de la patiente.
• Harmonie entre la forme, la plénitude et la fermeté des seins, offrant un résultat esthétique remarquable.
• Solution idéale pour les femmes minces, ne disposant pas de suffisamment de graisse pour recourir au lipofilling mammaire.

Les atouts du lipofilling mammaire

• Absence de risque de rejet, de coque ou de rupture d’implant, car la graisse utilisée est autologue.
• Aspect et toucher naturels de la poitrine, imitant au mieux la texture naturelle des seins.
• Capacité à corriger les imperfections résultant d’une augmentation par implant.
• Remodelage personnalisé des seins, incluant la correction d’asymétries.
• Amélioration esthétique des zones donneuses, telles que le ventre ou les cuisses, grâce au prélèvement de graisse.

Considérations pour l’augmentation mammaire à Villefranche par implants

• Risques à court et long terme, inhérents à la pose d’un implant (formation de coques, rupture, etc.).
• Nécessité potentielle d’une intervention supplémentaire en cas de rupture ou d’usure de l’implant.

Limitations du lipofilling mammaire

• Augmentation mammaire limitée, généralement équivalente à un demi-bonnet ou un bonnet complet, selon les cas.
• Incompatibilité avec les patientes minces ou maigres, en raison d’une quantité insuffisante de graisse disponible pour le prélèvement.
• Résorption partielle de la graisse injectée, pouvant entraîner une légère perte de volume après la procédure.

Les implants mammaires de dernière génération sont conçus pour avoir une durée de vie théorique comprise entre 10 et 20 ans. Cependant, en raison de leur conception récente, il manque encore du recul pour confirmer ces estimations de manière définitive.

Il est essentiel de considérer que les implants mammaires ne sont pas conçus pour être portés indéfiniment. Comme tout dispositif implantable, ils sont soumis à une usure naturelle et devront probablement être remplacés au cours de la vie.

De plus, il convient de noter que, tout comme une poitrine naturelle, une poitrine avec implants subit les effets du vieillissement. Ce processus doit être pris en compte lors du choix des prothèses (taille, forme, texture) et de la technique de pose, afin de garantir un résultat harmonieux et durable dans le temps.

Arrêt du tabac : Il est crucial d’arrêter de fumer au moins un mois avant et après l’intervention pour réduire les risques de thrombo-phlébite et de complications liées à la cicatrisation.

Éviter certains médicaments : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant la procédure afin de minimiser le risque d’hémorragie.

Contraception orale : L’arrêt de la contraception orale est recommandé un mois avant l’intervention pour diminuer le risque de thrombo-embolie.

Le BIA-ALCL est une forme rare de lymphome T, un type de cancer qui affecte le système immunitaire. Il se développe généralement dans la capsule de tissu cicatriciel entourant l’implant mammaire, qui se forme naturellement après sa mise en place. Dans de rares cas, ce lymphome peut se propager à d’autres parties du corps.

Il est essentiel de souligner que le BIA-ALCL diffère du cancer du sein et du syndrome de maladie des implants mammaires (BII), qui regroupe divers symptômes potentiellement liés aux implants.

Pronostic et traitement

Lorsqu’il est diagnostiqué et traité précocement, le BIA-ALCL est généralement guérissable. Cependant, un faible pourcentage de cas a entraîné des décès, soulignant l’importance d’une détection rapide.

Facteurs de risque

Le BIA-ALCL est principalement associé aux implants texturés, qu’ils soient remplis de gel de silicone ou de solution saline. Les implants fabriqués par Allergan, en particulier les modèles texturés Biocell, présentent un risque accru. Ces implants sont caractérisés par des indentations de surface plus grandes et profondes que d’autres implants texturés et ont été largement utilisés pour la reconstruction mammaire post-mastectomie ou dans le cadre d’augmentations esthétiques.

Le symptôme le plus fréquent du BIA-ALCL est un gonflement causé par une accumulation de liquide autour de l’implant mammaire. Parfois, une bosse peut également apparaître près de la surface de l’implant ou dans l’aisselle.

Les symptômes du BIA-ALCL se manifestent généralement plusieurs années après la pose de l’implant, avec une moyenne située entre 7 et 10 ans, bien qu’ils puissent survenir plus tôt dans certains cas.

Symptômes moins courants

• Ganglions lymphatiques enflés.
• Éruptions cutanées.
• Fièvre.
• Perte de poids.

Il est important de consulter un médecin dès l’apparition de ces signes pour un diagnostic précoce et une prise en charge rapide.

Selon les directives du National Comprehensive Cancer Network (NCCN), en cas de suspicion de BIA-ALCL, le chirurgien doit prescrire une imagerie, soit par ultrasons, soit par IRM.

Étapes du diagnostic

1. Examen du liquide périprothétique
   • Si l’imagerie révèle une accumulation significative de liquide autour de l’implant, une aspiration fine à l’aiguille est réalisée pour prélever ce liquide.
   • Le prélèvement est ensuite analysé pour détecter la présence de CD30, une protéine présente en quantités anormalement élevées sur les cellules lymphomateuses associées au BIA-ALCL.
   • Si le test au CD30 est positif, un dosage de la protéine ALK (anaplastic lymphoma kinase) est effectué. Les cellules lymphomateuses du BIA-ALCL ne produisant pas la protéine ALK, ce test sera négatif.
2. Biopsie en cas de masse
   • Si l’imagerie détecte une masse près de l’implant, une biopsie tissulaire sera réalisée pour des analyses approfondies afin de confirmer le diagnostic.

Ces étapes permettent de différencier le BIA-ALCL d’autres pathologies et d’orienter la prise en charge de manière précise et efficace.

Le National Comprehensive Cancer Network (NCCN) recommande plusieurs étapes clés pour les personnes diagnostiquées avec un BIA-ALCL :

1. Évaluation de l’étendue de la maladie
   • Un scan PET/CT (tomographie par émission de positons combinée à une tomodensitométrie) est conseillé pour déterminer l’étendue de la maladie et identifier d’éventuelles zones de propagation.
2. Intervention chirurgicale
   • Une chirurgie est préconisée pour retirer les implants mammaires ainsi que la totalité des capsules de tissu cicatriciel qui les entourent.
   • Si le BIA-ALCL affecte un seul implant, les deux implants doivent néanmoins être retirés pour garantir une prise en charge complète et réduire les risques de récidive.

Ces recommandations visent à optimiser le traitement et à limiter la progression de la maladie.

Introduits dans les années 1980, les implants mammaires à surface texturée ont été conçus pour adhérer aux tissus environnants, réduisant ainsi le risque de déplacement ou de rotation par rapport aux implants à surface lisse. Ces implants, disponibles en formes ronde ou en goutte d’eau, sont remplis de gel de silicone ou de solution saline.

Le rappel des implants Biocell d’Allergan

En juillet 2019, Allergan a procédé au rappel mondial de ses implants mammaires texturés Biocell et de ses extenseurs tissulaires, à la demande de la FDA (Food and Drug Administration). Ce rappel a été motivé par des données montrant que le risque de BIA-ALCL était six fois plus élevé avec les implants texturés Biocell d’Allergan qu’avec d’autres implants texturés vendus aux États-Unis.

• Implants concernés : seuls les implants non utilisés sont inclus dans ce rappel.
• Implants déjà en place : leur retrait n’est pas systématiquement recommandé.

Théories sur l’origine du BIA-ALCL

Les chercheurs ne comprennent pas encore pleinement pourquoi le BIA-ALCL se développe autour des implants texturés, mais plusieurs hypothèses sont avancées :

1. Inflammation chronique :
   La surface rugueuse des implants texturés pourrait provoquer une inflammation chronique, favorisant le développement du lymphome chez certaines personnes.
2. Biofilm bactérien :
   La surface texturée, avec sa plus grande surface de contact, pourrait retenir des bactéries, créant un biofilm. Ce biofilm entraînerait une inflammation prolongée pouvant évoluer vers un lymphome.
3. Texture prononcée des implants Biocell :
   Les implants Biocell d’Allergan, avec leur texture particulièrement rugueuse, pourraient être plus susceptibles de déclencher ces processus inflammatoires.

Facteurs génétiques

Les prédispositions génétiques jouent également un rôle. Certaines mutations, notamment dans les gènes JAK1 et STAT3, ont été identifiées comme augmentant le risque de développer un BIA-ALCL.

Motivations et critères pour une réduction mammaire

La décision de recourir à une réduction mammaire peut être motivée par des raisons esthétiques, psychologiques ou médicales. Cette intervention peut être envisagée dans les cas suivants :

• Déséquilibre esthétique : Seins disproportionnés par rapport à la morphologie globale, créant une silhouette déséquilibrée.
• Relâchement mammaire : Affaissement des seins, souvent accompagné de mamelons tombants.
• Douleurs chroniques : Inconfort persistant au niveau du dos, du cou ou des épaules causé par le poids des seins.
• Problèmes cutanés : Irritations ou infections récurrentes sous les seins.
• Asymétrie mammaire : Différence notable de taille ou de forme entre les deux seins.

Quand envisager une réduction mammaire ?

En général, cette intervention est possible dès l’âge de 17 à 18 ans, lorsque le développement mammaire est complet. Il n’existe pas de limite d’âge, à condition que la patiente ne présente aucune contre-indication médicale.

Consultation préalable

Pour évaluer la pertinence de la réduction mammaire, il est crucial de consulter un chirurgien plasticien expérimenté à Villefranche ou Lyon. Cette consultation permettra de :

• Discuter des attentes et des résultats potentiels.
• Identifier les risques éventuels.
• Personnaliser le plan de traitement selon chaque situation.

Situations pouvant conduire à reporter une réduction mammaire

1. Grossesse ou allaitement prévus
   Les femmes envisageant une grossesse à court terme ou souhaitant allaiter devraient considérer un report de la réduction mammaire. En effet, la grossesse et l’allaitement peuvent modifier le volume des seins et affecter les résultats de l’intervention.
2. Attentes irréalistes
   Si la patiente a des attentes irréalistes concernant les résultats ou n’est pas prête à accepter les risques et les implications de la chirurgie, il est préférable de différer l’intervention jusqu’à ce qu’une compréhension réaliste soit établie.
3. Incertitude sur la taille souhaitée
   Lorsque la patiente n’a pas encore déterminé la taille des seins qu’elle souhaite après la réduction, il est conseillé de reporter la chirurgie afin qu’elle puisse prendre une décision éclairée et réfléchie.

1 | Incision péri-aréolaire et verticale : Cette incision est pratiquée autour de l’aréole (le mamelon) et descend vers le sillon sous-mammaire. Cette technique est souvent utilisée pour les réductions mammaires modérées.

2 | Incision verticale ou en T inversé : Cette incision combine une incision péri-aréolaire-verticale et parfois une incision horizontale le long du sillon sous-mammaire, formant ainsi une forme de T inversé ou d’ancre. Cette technique permet d’accéder aux tissus mammaires excédentaires et de remodeler le sein de manière significative, tout en minimisant les cicatrices visibles.

Une fois les incisions réalisées, l’excès de tissu mammaire et de peau est retiré. Selon la technique employée, une partie de la glande mammaire est conservée pour permettre le remodelage et assurer une forme harmonieuse du sein. Le muscle grand pectoral reste intact tout au long de l’intervention.

Le mamelon et l’aréole sont préservés sur une structure de tissu vascularisé appelée pédicule, qui maintient leur apport sanguin. Ils sont ensuite repositionnés pour s’adapter à la nouvelle forme et taille des seins, offrant un résultat naturel et esthétique.

Les résultats définitifs de l’intervention ne peuvent être pleinement appréciés qu’à partir d’un an après l’opération. Durant cette période, il est essentiel de faire preuve de patience, car les cicatrices nécessitent du temps pour s’atténuer progressivement.

Un suivi régulier est recommandé, avec des consultations espacées d’environ trois mois sur une année. Ces rendez-vous permettent de surveiller l’évolution, d’évaluer la cicatrisation et de s’assurer du bon déroulement de la guérison.

Les cicatrices sont soigneusement positionnées pour être dissimulées dans les plis naturels du corps. Cependant, pour optimiser leur apparence, il est crucial de :

• Masser régulièrement les cicatrices, surtout pendant les 3 premiers mois suivant l’intervention.
• Protéger les cicatrices du soleil pendant au moins un an en utilisant une crème solaire avec un indice de protection élevé (SPF 50+). Cela aide à prévenir les pigmentations excessives ou les altérations durant la phase de guérison.

Le Dr Stivala utilise fréquemment le laser UrgoTouch®, une technologie innovante, pour améliorer significativement la qualité des cicatrices.

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Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés, évitant ainsi le recours à des agrafes ou à des fils visibles. Pour optimiser la cicatrisation, une petite boucle est maintenue à chaque extrémité de la cicatrice pendant environ 15 jours.

En règle générale, aucun drainage n’est nécessaire, sauf dans des cas particuliers.

Les douleurs après l’intervention varient d’une personne à l’autre, mais elles sont généralement bien tolérées grâce à un traitement adapté. Les sensations les plus courantes incluent une tension thoracique, des courbatures et parfois une légère gêne lors de l’inspiration profonde.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement pour soulager efficacement ces symptômes et garantir une récupération dans les meilleures conditions.

La réduction mammaire est une intervention chirurgicale courante et généralement sûre, mais elle comporte certains risques à connaître.

Risques généraux

Comme toute opération, il existe un risque d’infection, d’hématome (accumulation de sang nécessitant un drainage) ou de réaction à l’anesthésie. Des problèmes de cicatrisation peuvent également survenir, notamment des cicatrices épaisses, chéloïdes ou visibles.

Risques spécifiques à la réduction mammaire

Les mamelons et la peau autour des seins peuvent temporairement ou définitivement perdre leur sensibilité. Une asymétrie entre les deux seins (forme ou taille) est possible, nécessitant parfois une correction. L’allaitement peut être compromis, en fonction de la technique chirurgicale utilisée. Rarement, une mauvaise circulation sanguine peut entraîner une nécrose partielle de la peau ou du mamelon.

Risques à long terme

Les seins continueront à évoluer avec le temps en raison du vieillissement, des fluctuations hormonales ou des variations de poids. Certaines patientes peuvent être insatisfaites des résultats esthétiques et envisager une chirurgie corrective.

Pour minimiser ces risques, choisissez un chirurgien qualifié et suivez rigoureusement les consignes pré- et post-opératoires. Une discussion approfondie avec votre chirurgien est essentielle pour bien comprendre les bénéfices et les risques de l’intervention.

• Soulagement des douleurs physiques : Réduction des douleurs chroniques au dos, au cou et aux épaules, avec une amélioration notable de la posture.
• Amélioration de la qualité de vie : Moins de gêne au quotidien et un confort accru dans les activités journalières.
• Renforcement de l’estime de soi et de la confiance en soi : Une silhouette plus harmonieuse peut aider les femmes à se sentir mieux dans leur corps.
• Équilibre et proportion corporelle : La réduction mammaire rétablit une harmonie entre la taille des seins et le reste de la silhouette, facilitant le choix des vêtements et renforçant la confiance en soi.
• Facilitation des activités physiques : Un volume mammaire réduit permet une plus grande liberté et aisance dans les activités sportives et physiques.

Évaluation des bénéfices et des risques
L’objectif principal de cette intervention est d’améliorer la qualité de vie et l’esthétique, sans rechercher une perfection absolue. Si vos attentes sont réalistes et que vous êtes prêt(e) à accepter les cicatrices associées, vous devriez être satisfait(e) des résultats obtenus.

Limitations concernant la perte de poids
La réduction mammaire n’est pas une méthode de perte de poids. Bien qu’elle permette d’éliminer de l’excès de peau et de glande mammaire, elle n’entraîne pas de réduction significative du poids. Pour les personnes ayant un IMC élevé, cette intervention seule ne suffira pas à soulager de manière significative les douleurs dorsales liées à la surcharge pondérale.

Points à considérer

• Sensibilité mammaire :
  Après une réduction mammaire, une diminution temporaire ou permanente de la sensibilité des mamelons et des seins peut survenir. Dans la plupart des cas, cela s’améliore avec le temps, mais des changements durables sont possibles.
• Incapacité d’allaiter :
  Dans certains cas, l’intervention peut altérer la capacité d’allaiter, surtout si une grande quantité de tissu glandulaire est retirée. Les femmes envisageant une future grossesse et souhaitant allaiter doivent en discuter avec le Dr Stivala.
• Évolution des résultats :
  Les effets de la réduction mammaire peuvent évoluer avec le temps, en raison de facteurs tels que le vieillissement, les fluctuations de poids ou la grossesse. Une intervention corrective peut parfois être nécessaire pour maintenir les résultats esthétiques.

• Arrêt du tabac : Il est crucial d’arrêter de fumer au moins un mois avant et après l’intervention. Le tabac augmente considérablement les risques de thrombo-phlébite et de complications liées à la cicatrisation.
• Médicaments à éviter : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant l’opération pour réduire le risque d’hémorragie.
• Contraception orale : L’arrêt de la contraception orale est conseillé un mois avant l’intervention afin de diminuer le risque de thrombo-embolie.

Ces précautions sont essentielles pour assurer une intervention dans des conditions optimales et minimiser les risques post-opératoires.

La mastopexie s’adresse à toute personne souffrant de ptôse mammaire et souhaitant repositionner et raffermir ses seins afin de retrouver une silhouette plus jeune, plus tonique et plus harmonieuse.

Les causes courantes de la ptôse mammaire

• Ptôse mammaire liée au vieillissement
• Ptôse mammaire après grossesse et allaitement
• Ptôse mammaire due aux fluctuations de poids
• Ptôse mammaire d’origine congénitale ou génétique
• Ptôse mammaire après une chirurgie mammaire précédente

Pourquoi consulter ?

Dans chacun de ces cas, il est crucial de consulter un chirurgien plasticien expérimenté à Villefranche. Cette consultation permettra d’évaluer la pertinence d’un lifting mammaire, de discuter des attentes, d’expliquer les risques et d’anticiper les résultats potentiels de la procédure.

Grossesse future planifiée
Si une femme prévoit une grossesse dans un avenir proche (environ 2 ans), il est souvent préférable d’attendre après la grossesse pour envisager un lifting mammaire. Les changements hormonaux, la prise de poids et l’allaitement peuvent modifier significativement la forme et la fermeté des seins, ce qui pourrait compromettre les résultats de l’intervention.

Absence de ptôse mammaire significative
Si le degré de ptôse mammaire est faible et que la patiente souhaite simplement augmenter le volume de sa poitrine sans repositionner les seins, une augmentation mammaire seule peut être une solution plus adaptée, sans nécessiter un lifting.

1. Fluctuations de poids importantes
   Les variations de poids, qu’elles soient liées à une prise ou à une perte de poids, peuvent affecter les résultats d’un lifting mammaire.
   • Une prise de poids importante après l’intervention peut étirer les tissus mammaires, altérant les résultats esthétiques.
   • Une perte de poids significative peut entraîner un relâchement supplémentaire des tissus.
     Il est donc recommandé d’atteindre un poids stable avant de subir un lifting mammaire. Cela minimise les risques de complications et optimise les résultats à long terme.

L’incision périaréolaire est effectuée autour du bord de l’aréole, la zone pigmentée entourant le mamelon. Cette technique est fréquemment utilisée pour traiter les ptôses mammaires légères à modérées. Les cicatrices qui en résultent sont généralement discrètes, car elles sont dissimulées à la transition entre la peau de l’aréole et celle du sein.

En complément de l’incision périaréolaire, une incision verticale peut être réalisée, descendant de l’aréole jusqu’au sillon sous-mammaire (pli sous le sein). Cette technique est particulièrement adaptée aux ptôses mammaires modérées à sévères, car elle permet d’accéder aux tissus mammaires profonds et de repositionner les seins de manière plus significative pour un résultat harmonieux.

Dans les cas de ptôse mammaire sévère, une incision horizontale peut être réalisée le long du pli sous-mammaire, souvent combinée avec une incision verticale pour former une cicatrice en forme de « T » inversé ou d’ancre. Cette technique permet un repositionnement significatif des tissus mammaires et une correction plus importante de l’affaissement, offrant des résultats durables et harmonieux.

Voici les structures concernées par un lifting mammaire :

1. Tissu glandulaire mammaire
   Le tissu glandulaire mammaire constitue la partie fonctionnelle des seins, responsable de la production de lait. Lors d’un lifting mammaire, ce tissu est remodelé et repositionné afin de restaurer la forme et la projection des seins.
2. Peau mammaire
   La peau recouvrant les seins est ajustée pour s’adapter à leur nouvelle forme après le lifting. L’excès de peau est éliminé afin de prévenir le relâchement et de créer une apparence plus ferme et tonique.
3. Aréole et mamelon
   L’aréole et le mamelon sont repositionnés pour s’aligner avec la nouvelle position des seins, garantissant un résultat naturel et esthétique.

Les résultats définitifs de l’intervention ne peuvent être pleinement appréciés qu’un an après l’opération. Il est essentiel de faire preuve de patience, car les cicatrices nécessitent du temps pour s’atténuer progressivement.

Durant cette période, un suivi régulier est fortement recommandé, avec des consultations espacées d’environ trois mois sur une année. Cela permet de surveiller l’évolution, d’assurer un bon déroulement de la guérison et d’apporter des ajustements si nécessaire.

Les cicatrices sont stratégiquement positionnées pour être dissimulées dans les plis naturels du corps. Cependant, pour optimiser leur apparence, il est crucial de :

• Masser les cicatrices régulièrement, notamment pendant les trois premiers mois suivant l’intervention.
• Protéger les cicatrices du soleil pendant au moins un an, en appliquant une crème solaire à indice de protection élevé (SPF 50+).

Ces soins permettent de prévenir les pigmentations excessives ou les altérations de la cicatrice durant la phase de guérison.

Pour améliorer davantage le résultat cicatriciel, le Dr Stivala utilise fréquemment le laser UrgoTouch®, une technologie avancée dédiée à l’optimisation des cicatrices.

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Pour les sutures, des fils résorbables sont utilisés, évitant ainsi le recours à des agrafes ou à des fils visibles. Afin de favoriser une cicatrisation optimale, une petite boucle est maintenue à chaque extrémité de la cicatrice pendant environ 15 jours.

Aucun drainage n’est généralement requis sauf cas particulier.

Les douleurs après l’intervention peuvent varier d’une personne à l’autre, mais elles sont généralement bien tolérées avec un traitement adapté. Les sensations les plus fréquentes incluent une tension et des courbatures au niveau des muscles abdominaux, parfois accompagnées d’une gêne lors de l’inspiration profonde.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement pour soulager efficacement ces symptômes et garantir une récupération confortable.

Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications peuvent survenir. Le Dr Stivala sera à vos côtés pour vous accompagner et mettre en place une prise en charge adaptée si nécessaire.

Différents types de complications

1. Suites post-opératoires habituelles :
   • Hématomes.
   • Gonflements.
   • Courbatures.
   • Diminution temporaire de la sensibilité cutanée.
2. Risques post-opératoires à court terme :
   • Infections.
   • Saignements.
   • Nécrose cutanée.
   • Retards de cicatrisation.
   • Écoulements.
3. Risques post-opératoires à long terme :
   • Asymétrie.
   • Écoulements lymphatiques.
   • Rejet du matériel de suture.

Un suivi attentif

Le suivi post-opératoire permettra de surveiller ces éventualités et de s’assurer d’une récupération optimale.

• Amélioration de la silhouette
  En remontant les seins, la mastopexie contribue à une silhouette plus tonique et équilibrée. Cette intervention peut également aider à restaurer la confiance en soi et l’estime de soi de la patiente.
• Correction de l’asymétrie mammaire
  La mastopexie permet d’ajuster la position et la forme des seins, corrigeant ainsi les asymétries pour un résultat plus symétrique et harmonieux.
• Réduction de l’excès de peau
  Pour les femmes présentant un excès cutané au niveau des seins, la mastopexie élimine cet excès, offrant une poitrine à l’apparence plus ferme et rajeunie.
• Repositionnement du mamelon et de l’aréole
  En cas de ptôse mammaire, la mastopexie repositionne le mamelon et l’aréole pour s’aligner avec la nouvelle forme et position des seins, améliorant l’esthétique globale.
• Possibilité de combinaisons avec d’autres interventions
  La mastopexie peut être réalisée seule ou combinée à des interventions telles qu’une augmentation mammaire par prothèses ou par lipofilling, permettant d’obtenir des résultats adaptés aux besoins spécifiques de chaque patiente.

L’objectif de la mastopexie est d’améliorer l’apparence des seins, sans chercher à atteindre une perfection absolue. Si vos attentes sont réalistes et que vous êtes prêt(e) à accepter les cicatrices résultantes, vous devriez être pleinement satisfait(e) du résultat obtenu.

Limitations liées à la redistribution de la glande mammaire

Lors d’une mastopexie, le chirurgien remodèle et repositionne les seins en utilisant la glande mammaire existante. Cela signifie que le volume final dépend de la quantité de tissu mammaire disponible.

Dans certains cas, si une augmentation de volume supplémentaire est souhaitée, une augmentation par implants ou par lipofilling peut être envisagée. Si cette option n’est pas réalisable, les possibilités de volume postopératoire seront limitées à la glande mammaire existante.

• Arrêt du tabac : Il est crucial d’arrêter de fumer au moins un mois avant et après l’intervention. Le tabac augmente significativement les risques de thrombo-phlébite et de complications de cicatrisation.
• Éviter certains médicaments : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant l’intervention pour limiter le risque d’hémorragie.
• Contraception orale : L’arrêt de la contraception orale est recommandé un mois avant l’intervention pour réduire les risques de thrombo-embolie.

• Mastectomie prophylactique en cas de risque génétique élevé :
  Les femmes porteuses des mutations génétiques BRCA1 ou BRCA2, qui présentent un risque accru de cancer du sein, peuvent opter pour une mastectomie prophylactique suivie d’une reconstruction mammaire.
• Chirurgie après une tumeur bénigne :
  Les femmes ayant subi une intervention pour retirer une tumeur bénigne du sein et souhaitant restaurer la forme et l’apparence de leur poitrine.
• Perte de volume suite à un traumatisme ou une malformation congénitale :
  Celles ayant perdu une partie importante du volume mammaire en raison d’un traumatisme ou d’une anomalie congénitale.
• Équilibrage après une chirurgie conservatrice :
  Les femmes souhaitant harmoniser la taille et la forme de leurs seins après une chirurgie conservatrice.
• Restaurer la poitrine pour des raisons esthétiques ou psychologiques :
  Celles qui souhaitent retrouver leur poitrine après une mastectomie ou une perte de volume mammaire, motivées par des raisons psychologiques ou esthétiques.
• Reconstruction après un traitement contre le cancer du sein :
  Les femmes ayant terminé leur traitement, cherchant à se reconstruire émotionnellement et à retrouver une silhouette féminine.

Dans chacun de ces cas, il est crucial de consulter un chirurgien plasticien expérimenté à Villefranche pour :

• Évaluer la pertinence d’une reconstruction mammaire.
• Discuter des attentes, des risques et des résultats possibles de la procédure.

• Parcours de soins ou conditions personnelles incompatibles avec une reconstruction immédiate :
  Lorsque la patiente est en cours de chimiothérapie, de radiothérapie, ou traverse une période de faiblesse psychologique, il est souvent préférable de reporter la reconstruction mammaire. D’autres traitements ou accompagnements peuvent être prioritaires avant d’envisager une intervention dans un contexte médical et personnel plus favorable.
• Refus de chirurgie supplémentaire :
  Certaines patientes préfèrent éviter toute intervention chirurgicale supplémentaire après un traitement contre le cancer du sein et choisissent de ne pas opter pour une reconstruction mammaire.
• Insuffisance de tissu pour une reconstruction par autogreffe :
  Si la patiente ne dispose pas de suffisamment de peau ou de graisse pour une reconstruction mammaire autologue (par transfert de tissu adipeux ou lambeaux) et qu’elle ne souhaite pas avoir recours à des implants, la reconstruction peut ne pas être envisagée.
• Préparation psychologique insuffisante :
  La reconstruction mammaire peut être un processus exigeant sur le plan émotionnel. Si la patiente préfère se concentrer d’abord sur sa guérison et sa réadaptation après le traitement, il est judicieux de reporter la reconstruction.
• Grossesse ou allaitement en cours :
  Il est recommandé d’attendre la fin de la grossesse et de l’allaitement avant de planifier une reconstruction mammaire, afin d’assurer des conditions optimales pour l’intervention.

Incisions utilisées en reconstruction mammaire : selon la technique choisie

Les incisions nécessaires pour une reconstruction mammaire dépendent directement de la méthode utilisée. Voici les types d’incisions couramment pratiqués :

1 | Reconstruction par implant mammaire

Les incisions peuvent être réalisées :

• Autour de l’aréole (incision péri-aréolaire).
• Dans le pli sous-mammaire (incision sous-mammaire).
• Dans l’aisselle (incision axillaire).
• À travers la même incision utilisée pour la mastectomie, si possible.

2 | Reconstruction par lambeau de tissu autologue

Les incisions varient selon le type de lambeau utilisé :

• Lambeau de grand dorsal : L’incision est située dans le dos, souvent dissimulée dans un pli naturel, et peut être facilement masquée par un soutien-gorge.
• Lambeau DIEP : L’incision est positionnée juste au-dessus du pubis, plus basse que celle d’une césarienne, et reste discrète sous les sous-vêtements ou un maillot de bain.

3 | Lipofilling mammaire

• De petites incisions millimétriques (4 mm) sont pratiquées dans les zones de prélèvement de la graisse (abdomen, cuisses, fesses) pour l’aspiration à l’aide d’une canule.
• La graisse est ensuite réinjectée dans le sein par des incisions de 2 mm, situées autour du sein.

Facteurs influençant le choix des incisions

Les incisions sont planifiées en tenant compte de :

• La taille et la forme du sein à reconstruire.
• Les préférences de la patiente et du chirurgien.
• La technique de reconstruction choisie.

Les résultats d’une reconstruction mammaire ne peuvent être évalués de manière définitive qu’un an après l’opération. Cette période est nécessaire pour permettre aux cicatrices de s’atténuer et au sein de prendre sa forme définitive. Il est essentiel de faire preuve de patience pendant ce processus.

Suivi post-opératoire

Un suivi régulier est recommandé, avec des consultations espacées d’environ trois mois sur une année, afin de :

• Surveiller l’évolution de la cicatrisation.
• S’assurer du bon déroulement de la guérison.

Durabilité des résultats

La longévité des résultats d’une reconstruction mammaire dépend de plusieurs facteurs, dont la technique utilisée, la qualité des tissus, et les changements corporels au fil du temps.

1. Prothèses mammaires

• Durée de vie moyenne : 10 à 15 ans.
• Un remplacement ou une révision peut être nécessaire avant cette période en cas de complications telles que :
  • Rupture de la prothèse.
  • Contracture capsulaire.

2. Lambeaux autologues

• Les résultats sont généralement plus durables, car ils utilisent les propres tissus du patient.
• Cependant, des facteurs tels que la prise ou perte de poids ou d’autres changements corporels peuvent affecter l’apparence à long terme.

3. Lipofilling mammaire

• Les résultats peuvent être permanents dans de nombreux cas.
• Une partie de la graisse injectée peut être résorbée par le corps au fil du temps, nécessitant des séances de retouches pour maintenir l’effet souhaité.

Les cicatrices sont soigneusement positionnées pour être dissimulées dans les plis naturels du corps. Cependant, pour optimiser leur apparence, il est essentiel de :

• Masser régulièrement les cicatrices, en particulier pendant les trois premiers mois suivant l’intervention.
• Protéger les cicatrices du soleil pendant au moins un an, en appliquant une crème solaire à indice de protection élevé (SPF 50+).

Ces soins aident à prévenir les pigmentations excessives ou les altérations des cicatrices pendant la phase de guérison.

Pour améliorer encore les résultats cicatriciels, le Dr Stivala utilise fréquemment le laser URGOTOUCH®, une technologie avancée dédiée à l’optimisation des cicatrices post-opératoires.

Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés, évitant ainsi le recours à des agrafes ou à des fils visibles. Pour optimiser la cicatrisation, une petite boucle est maintenue à chaque extrémité de la cicatrice pendant environ 15 jours.

En règle générale, aucun drainage n’est nécessaire, sauf dans des cas particuliers.

Les douleurs après l’intervention peuvent varier d’une personne à l’autre, mais elles sont généralement bien tolérées grâce à un traitement adapté. Les sensations fréquentes incluent une tension et des courbatures dans la zone opérée.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement si nécessaire, afin de soulager ces symptômes et de garantir une récupération aussi confortable que possible.

Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications peuvent survenir. Le Dr Stivala sera à vos côtés pour vous accompagner et mettre en place une prise en charge adaptée si nécessaire.

Différents types de complications

1. Suites post-opératoires habituelles
   • Hématomes.
   • Gonflements.
   • Courbatures.
   • Diminution temporaire de la sensibilité cutanée.
2. Risques post-opératoires à court terme
   • Infections.
   • Saignements.
   • Nécrose cutanée.
   • Retards de cicatrisation.
   • Écoulements.
3. Risques post-opératoires à long terme
   • Asymétrie mammaire.
   • Écoulements lymphatiques.
   • Rejet du matériel de suture.
   • Rupture éventuelle de l’implant mammaire.

Un suivi attentif permettra de surveiller et de traiter ces éventualités, garantissant ainsi une prise en charge optimale.

• Restauration de l’apparence physique
  La reconstruction mammaire permet de recréer un sein similaire à celui retiré, aidant ainsi à renforcer l’estime de soi et la confiance en soi.
• Rétablissement de l’image corporelle
  Pour de nombreuses femmes, cette intervention contribue à retrouver une image corporelle harmonieuse, tout en aidant à surmonter les sentiments de perte associés à la mastectomie.
• Amélioration de la qualité de vie
  La reconstruction mammaire a un impact significatif sur la qualité de vie, permettant aux femmes de se sentir plus complètes et de mieux gérer leur expérience post-mastectomie.
• Équilibre et symétrie
  En rétablissant la symétrie entre les deux seins, la reconstruction aide à équilibrer la silhouette pour un résultat esthétique et harmonieux.

• Résultats variables
  Les résultats de la reconstruction mammaire peuvent varier d’une personne à l’autre en fonction de plusieurs facteurs, tels que :
  • La qualité des tissus.
  • La technique chirurgicale utilisée.
  • La réaction individuelle du corps à la chirurgie.
• Complexité chirurgicale
  La reconstruction mammaire est souvent une procédure complexe, pouvant nécessiter plusieurs interventions successives pour atteindre les résultats souhaités.
• Résultats esthétiques
  Bien que l’objectif soit d’obtenir des résultats esthétiques satisfaisants, il peut être difficile de reproduire parfaitement l’apparence naturelle du sein, notamment en termes de sensation et de texture.
• Impact sur la sensibilité
  Certaines techniques peuvent entraîner une perte de sensation dans la zone reconstruite, ce qui peut affecter le confort et, dans certains cas, la qualité de vie de la patiente.
• Engagement à long terme
  La reconstruction mammaire est souvent un processus qui demande un engagement continu, incluant des consultations régulières et, parfois, des interventions de révision pour ajuster les résultats.

• Arrêt du tabac : Il est crucial de cesser de fumer au moins un mois avant et après l’intervention. Le tabac augmente considérablement les risques de thrombo-phlébite et de complications de cicatrisation.
• Médicaments à éviter : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant l’opération pour minimiser le risque d’hémorragie.
• Contraception orale : L’arrêt de la contraception orale est recommandé un mois avant l’intervention, afin de réduire le risque de thrombo-embolie.
• Préparation mentale : Prenez le temps de vous préparer mentalement à la chirurgie. Il est important de comprendre les implications émotionnelles liées à la reconstruction mammaire, qui peut être une étape marquante dans le processus de guérison.
• Organisation personnelle et soutien :
  • Planifiez votre emploi du temps et préparez votre environnement domestique pour assurer une récupération sans stress après la chirurgie.
  • Prévoyez un soutien adéquat de la part de vos proches (famille ou amis) pour vous accompagner pendant cette période de convalescence.

Indications pour une intervention de gynécomastie

Hypertrophie mammaire persistante :
Chez les patients présentant une hypertrophie mammaire significative qui ne diminue pas malgré l’exercice physique ou un régime alimentaire.

Déséquilibres hormonaux :
Dans les cas où un déséquilibre hormonal provoque une croissance excessive du tissu mammaire. Un avis spécialisé auprès d’un endocrinologue sera nécessaire avant d’envisager une intervention.

Impact psychologique et social :
Pour les hommes souffrant de gêne sociale, de problèmes d’estime de soi, ou de détresse psychologique liés à l’apparence de leur poitrine.

Rétablissement d’une apparence masculine :
Pour ceux qui souhaitent retrouver une poitrine plus plate, proportionnée et typiquement masculine.

Consultation spécialisée
Dans ces situations, il est crucial de consulter un chirurgien plasticien expérimenté à Villefranche pour :

Évaluer la pertinence de l’intervention.

Discuter des attentes, des risques et des résultats possibles.

Considérations avant d’envisager une intervention pour la gynécomastie

• Gynécomastie transitoire :
  Chez les adolescents, la gynécomastie peut être temporaire et se résorber naturellement avec le temps. Dans ces cas, il est souvent préférable d’attendre une évolution spontanée avant de recourir à une intervention chirurgicale.
• Déséquilibres hormonaux :
  Des perturbations du système endocrinien, qui régule la production et l’équilibre des hormones, peuvent être à l’origine d’une croissance excessive du tissu mammaire chez les hommes. Avant d’envisager une chirurgie, un bilan médical approfondi est indispensable pour éliminer toute cause sous-jacente nécessitant un suivi médical spécialisé, comme :
  • Le syndrome de Klinefelter.
  • L’hypogonadisme.
  • L’hyperthyroïdie.
  • Une insuffisance rénale.
  • Un cancer du testicule.
  • Une tumeur des glandes surrénales.

Dans ces cas, un suivi avec un endocrinologue est recommandé pour traiter ou stabiliser ces conditions avant de considérer une chirurgie.

Incision périaréolaire

Cette incision est réalisée autour du bord de l’aréole, la zone pigmentée entourant le mamelon.

• Utilisée pour les cas de gynécomastie légère à modérée.
• Les cicatrices résultantes sont généralement discrètes, dissimulées le long de la transition entre la peau de l’aréole et celle du sein.

Incision verticale

En complément de l’incision périaréolaire, une incision verticale peut être réalisée, descendant de l’aréole jusqu’au pli sous-mammaire (sillon sous le sein).

Adaptée aux cas de gynécomastie modérée à sévère.

Elle permet d’accéder aux tissus mammaires plus profonds et d’éliminer de manière significative l’excès de peau.

Incision horizontale dans le sillon sous-mammaire

Pour les cas de gynécomastie sévère, une incision horizontale est réalisée le long du pli sous-mammaire, formant une cicatrice en « T » inversé ou en forme d’ancre.

Permet un repositionnement important des tissus.

Idéale pour corriger un excès cutané majeur et obtenir un résultat harmonieux.

Tissu glandulaire mammaire
Le tissu glandulaire mammaire, partie fonctionnelle responsable de la production de lait, est retiré lors de l’intervention. Ce tissu est systématiquement envoyé en analyse anatomopathologique pour un examen approfondi.

Peau mammaire
La peau recouvrant la poitrine est ajustée pour s’adapter à la nouvelle forme du thorax. Tout excès de peau est retiré afin de prévenir un relâchement cutané et de garantir une apparence plus ferme et tonique.

Aréole et mamelon
L’aréole et le mamelon sont repositionnés pour s’harmoniser avec la nouvelle morphologie et assurer un résultat naturel.

Les résultats définitifs de l’intervention ne peuvent être évalués avec précision qu’au bout d’un an. Cette période est nécessaire pour permettre aux cicatrices de s’atténuer progressivement et pour apprécier pleinement l’évolution de la poitrine.

Suivi post-opératoire recommandé

Pendant cette période, un suivi régulier est essentiel :

Consultations espacées d’environ trois mois sur une année.

Surveillance de l’évolution cicatricielle et du processus de guérison pour garantir un résultat optimal.

Faire preuve de patience et respecter ces rendez-vous médicaux contribuera à assurer un bon déroulement de la récupération.

Les cicatrices sont soigneusement positionnées pour être dissimulées dans les plis naturels du corps. Cependant, pour optimiser leur apparence, il est essentiel de :

Masser les cicatrices régulièrement, notamment pendant les trois premiers mois suivant l’intervention.

Protéger les cicatrices du soleil pendant au moins un an, en appliquant une crème solaire avec un indice de protection élevé (SPF 50+).

Ces mesures aident à prévenir les pigmentations excessives et à minimiser les altérations des cicatrices durant la phase de guérison.

Pour améliorer encore les résultats, le Dr Stivala utilise fréquemment le laser UrgoTouch®, une technologie avancée spécifiquement conçue pour optimiser la cicatrisation.

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Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés, évitant ainsi le recours à des agrafes ou à des fils visibles. Une boucle est maintenue à chaque extrémité de la cicatrice pendant environ 15 jours afin de favoriser une cicatrisation optimale.

Aucun drainage n’est généralement requis sauf cas particulier.

Les douleurs après l’intervention peuvent varier d’une personne à l’autre, mais elles sont généralement bien tolérées grâce à un traitement adapté. Les sensations courantes incluent une tension et des courbatures au niveau des muscles abdominaux, parfois accompagnées d’une gêne lors de l’inspiration profonde.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement pour soulager efficacement ces symptômes et garantir une récupération confortable.

Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications peuvent survenir. Le Docteur Stivala sera présent pour vous accompagner et mettre en place une prise en charge adaptée si nécessaire.

Différents types de complications

1. Suites post-opératoires habituelles :
   • Hématomes.
   • Gonflements.
   • Courbatures.
   • Diminution temporaire de la sensibilité cutanée.
2. Risques post-opératoires à court terme :
   • Infections.
   • Saignements.
   • Nécrose cutanée.
   • Retards de cicatrisation.
   • Écoulements.
3. Risques post-opératoires à long terme :
   • Asymétrie.
   • Écoulements lymphatiques.
   • Rejet du matériel de suture.

Un suivi attentif permettra de surveiller l’évolution et de traiter ces éventualités pour assurer une récupération optimale.

Réduction de la taille de la poitrine et amélioration de la symétrie mammaire.

Correction des mamelons hypertrophiés ou proéminents, pour un aspect plus harmonieux.

Restauration de la fermeté et de la tonicité de la peau au niveau du thorax.

Amélioration de la posture et du confort physique, en réduisant le poids et les gênes associées.

Renforcement de la confiance en soi grâce à une poitrine plus masculine et proportionnée.

L’objectif principal de cette intervention est d’améliorer l’apparence de la poitrine, sans viser une perfection absolue. Si vos attentes sont réalistes et que vous êtes prêt(e) à accepter les cicatrices éventuelles, vous devriez être pleinement satisfait(e) du résultat obtenu.

Limitations en termes de perte de poids

Il est important de noter que la chirurgie de gynécomastie n’est pas une solution pour perdre du poids.

• Bien qu’elle permette de retirer l’excès de peau et de réduire localement la graisse, elle n’entraîne pas une perte de poids globale significative.
• Cette intervention cible uniquement l’aspect esthétique et fonctionnel de la poitrine.

Arrêt du tabac : Il est crucial de cesser de fumer au moins un mois avant et après l’opération. Le tabac augmente considérablement les risques de thrombo-phlébite et de complications de cicatrisation.

Éviter certains médicaments : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant l’intervention afin de réduire le risque d’hémorragie.

Augmentation naturelle du volume mammaire : Pour les patientes souhaitant une augmentation des seins en utilisant leur propre tissu adipeux.

Alternative moins invasive : Pour celles recherchant une solution plus subtile et naturelle que les implants mammaires traditionnels.

Reconstruction mammaire post-cancer : Pour les patientes ayant subi une chirurgie pour cancer du sein et souhaitant restaurer le volume et la forme de leur poitrine de manière naturelle.

Amélioration de la silhouette : Pour celles qui souhaitent remodeler la forme et le contour des seins tout en éliminant les excès de graisse localisés dans d’autres parties du corps.

Dans tous ces cas, il est essentiel de consulter un chirurgien plasticien expérimenté à Villefranche pour évaluer l’adéquation du lipofilling mammaire à chaque situation individuelle et discuter des attentes, des risques et des résultats potentiels.

Insuffisance de graisse corporelle : Le lipofilling nécessite une quantité suffisante de tissu adipeux pour être efficace, ce qui peut exclure les patientes très minces.

Augmentation mammaire importante : Cette technique est limitée en termes de volume par rapport aux implants mammaires, elle n’est donc pas adaptée aux patientes recherchant une augmentation significative.

Correction de ptôse sévère : Le lipofilling seul peut ne pas être suffisant pour corriger une ptôse mammaire importante, nécessitant souvent une autre approche chirurgicale.

Lors du prélèvement de tissu adipeux et de sa réinjection dans la région mammaire, les incisions sont très petites, mesurant environ 3 millimètres, et placées de manière discrète. Ces incisions sont stratégiquement réalisées dans des zones spécifiques afin de minimiser les cicatrices visibles tout en offrant un accès optimal aux régions à traiter.

Le décollement cutané est réalisé entre la peau et la paroi musculaire sous-jacente, permettant un accès direct à la graisse sous-cutanée.

Le transfert de graisse se fait en petites quantités, sous forme de fins cylindres de graisse rappelant des « spaghettis ». Cette méthode implique la création de micro-tunnels multidirectionnels, allant du plan profond (près des côtes) au plan superficiel (proche de la peau).

Une planification minutieuse des volumes en pré-opératoire est essentielle pour :

• Construire un réseau tridimensionnel homogène.
• Éviter la formation d’amas graisseux, qui pourrait entraîner une cytostéatonécrose.

Chaque micro-tunnel est conçu pour être entouré de tissu bien vascularisé, garantissant la survie des cellules graisseuses. Le transfert de graisse est effectué sous faible pression, avec un retrait délicat de la canule pour préserver l’intégrité du tissu.

Les résultats définitifs de l’intervention ne peuvent être évalués avec précision qu’au bout d’un an.

Surcorrection et résorption du volume transféré

Il est essentiel de prévoir une surcorrection du volume de graisse transférée, dans la mesure où les tissus receveurs le permettent. Cela prend en compte une résorption naturelle d’environ 20 à 30 % du volume injecté. La règle des 140 % est donc appliquée : par exemple, injecter 140 ml de graisse pour obtenir un résultat final estimé à 100 ml.

Si les tissus receveurs atteignent leur capacité maximale et ne peuvent plus accepter de graisse, il est important de ne pas forcer l’injection pour éviter des complications telles que des zones de cytostéatonécrose. Dans ce cas, il est préférable de planifier une seconde séance complémentaire, réalisable quelques mois plus tard, pour affiner les résultats.

Patience et suivi post-opératoire

Les volumes injectés nécessitent du temps pour se stabiliser progressivement. Pendant cette période, un suivi régulier est recommandé, avec des consultations espacées d’environ trois mois sur une année, pour surveiller l’évolution et s’assurer d’une guérison optimale.

Les cicatrices sont soigneusement placées pour être dissimulées dans les plis naturels du corps. Cependant, pour optimiser leur apparence :

Massez les cicatrices régulièrement pendant les trois premiers mois.

Protégez-les du soleil pendant au moins un an en appliquant une crème solaire à indice de protection élevé (SPF 50+).

Ces précautions aident à prévenir les pigmentations excessives et à améliorer l’aspect final des cicatrices.

Pour optimiser davantage les résultats, le Dr Stivala utilise fréquemment le laser UrgoTouch®, une technologie avancée dédiée à l’amélioration de la cicatrisation.

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Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés pour les sutures. Les boucles se dissolvent naturellement dans le corps au fil du temps et ne nécessitent pas d’ablation par une infirmière.

Les douleurs après l’intervention peuvent varier d’une personne à l’autre, mais elles sont généralement bien tolérées avec un traitement approprié. Les sensations les plus courantes incluent une tension et des courbatures dans les zones de lipoaspiration.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement pour soulager ces symptômes et garantir une récupération confortable.

Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications peuvent survenir. Le Docteur Stivala sera là pour vous accompagner et vous proposer une prise en charge adaptée.

Il est essentiel de distinguer :

・Les suites post-opératoires habituelles telles que les hématomes, les gonflements, les courbatures et une diminution temporaire de la sensibilité cutanée.

・Les risques post-opératoires à court terme incluent les infections, les saignements, la nécrose cutanée, les retards de cicatrisation et les écoulements.

・Les risques post-opératoires à long terme comprennent l’asymétrie, les irrégularités des zones aspirés, la résorption précoce de la graisse injectée et la présence d’amas graisseux irréguliers (perçus comme des nodules de graisse).

• Résultat naturel :
  Cette technique utilise la graisse de la patiente pour augmenter le volume des seins, offrant un aspect et un toucher plus naturels que les implants mammaires.
• Double bénéfice :
  En plus d’augmenter le volume mammaire, le lipofilling permet de remodeler la silhouette en éliminant les excès de graisse dans des zones telles que l’abdomen, les cuisses ou les hanches.
• Chirurgie mini-invasive :
  Les incisions nécessaires pour prélever et réinjecter la graisse sont millimétriques, entraînant des cicatrices discrètes et peu visibles.
• Confort post-opératoire :
  Comparé à la pose d’implants mammaires, le lipofilling offre une récupération plus confortable, avec moins de contraintes liées à une chirurgie invasive.

• Objectif d’amélioration :
  Le lipofilling vise à améliorer l’apparence des seins de manière naturelle, sans rechercher la perfection. Avec des attentes réalistes et une acceptation des cicatrices minimales, les patientes peuvent être très satisfaites des résultats obtenus.
• Volume cible limité :
  Cette technique est particulièrement adaptée pour des augmentations mammaires légères à modérées. Les volumes de graisse injectés sont limités et peuvent ne pas convenir aux patientes souhaitant une augmentation significative.
• Résorption de la graisse :
  Une partie de la graisse transférée peut être résorbée par le corps au fil du temps, entraînant une légère diminution du volume. Des séances de retouches peuvent être nécessaires pour maintenir ou ajuster les résultats.
• Nécessité de tissu adipeux suffisant :
  Le lipofilling exige une quantité adéquate de graisse à prélever. Les patientes très minces ou avec un faible pourcentage de graisse corporelle peuvent ne pas être des candidates idéales pour cette intervention.
• Possibilité de plusieurs séances :
  Pour atteindre les résultats souhaités, certaines patientes peuvent nécessiter plusieurs séances, espacées de quelques mois, ce qui peut prolonger la durée totale du traitement.

Arrêt du tabac : Il est impératif de cesser de fumer au moins un mois avant et après la chirurgie pour réduire les risques de thrombo-phlébite et de complications de cicatrisation.

Éviter certains médicaments : La prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants doit être suspendue dans les 15 jours précédant l’intervention afin de minimiser le risque d’hémorragie.

Contraception orale : L’arrêt de la contraception orale est conseillé un mois avant la procédure pour réduire le risque de thrombo-embolie.

À ce jour, aucune preuve concluante n’indique que le lipofilling mammaire augmente le risque de développer un cancer du sein. Cependant, cela n’élimine pas la possibilité qu’un cancer puisse apparaître ultérieurement. Le risque de cancer varie d’une patiente à l’autre et dépend de plusieurs facteurs, tels que l’âge, les antécédents familiaux et la densité mammaire. Il est essentiel de prendre toutes les précautions nécessaires pour réduire ce risque.

Bilan pré-opératoire et suivi post-opératoire

Avant l’intervention, il est impératif de réaliser :

• Un bilan d’imagerie mammaire pré-opératoire comprenant une mammographie et une échographie, effectuées par un radiologue spécialisé en imagerie mammaire.

Après l’intervention, un suivi régulier est essentiel :

• Une mammographie et une échographie doivent être réalisées un an après l’intervention, conformément aux recommandations du radiologue.

Importance de la surveillance à long terme

Cette approche permet une surveillance optimale de l’état de santé mammaire, facilitant la détection précoce d’éventuels changements ou anomalies. En prenant ces précautions et en respectant un suivi rigoureux, la patiente et son équipe médicale peuvent collaborer efficacement pour préserver sa santé et son bien-être à long terme.

La correction des seins tubéreux s’adresse aux patientes présentant une anomalie de la forme de la poitrine, généralement caractérisée par un développement insuffisant de la glande mammaire dans certaines zones. Cette condition entraîne une apparence tubulaire ou conique du sein.

Il est indispensable de consulter un chirurgien plasticien qualifié à Villefranche pour évaluer si une correction des seins tubéreux est adaptée à votre situation. Cette consultation permet de discuter des attentes, des risques et des résultats potentiels de l’intervention afin de proposer une solution personnalisée.

Grossesse ou allaitement récents :
Il est généralement conseillé d’attendre la fin de la grossesse et de l’allaitement avant de procéder à une chirurgie mammaire. Les fluctuations hormonales associées à ces périodes peuvent altérer la forme et la taille des seins, ce qui pourrait compromettre les résultats de l’intervention.

Fluctuations pondérales :
Les variations de poids, qu’il s’agisse de perte ou de prise de poids, peuvent influencer l’apparence des seins. Une chirurgie effectuée alors que la patiente est en surpoids pourrait voir ses résultats altérés si son poids change par la suite, entraînant des asymétries, un affaissement ou d’autres modifications indésirables.

Incision péri-aréolaire :
Réalisée autour du bord de l’aréole, cette incision est fréquemment utilisée pour traiter les cas de ptôse mammaire légère à modérée. Les cicatrices, discrètes, se fondent généralement le long de la transition naturelle entre la peau de l’aréole et celle du sein.

Incision sous-mammaire :
Effectuée dans le sillon sous-mammaire, cette incision offre un accès direct à la glande mammaire et est idéale pour introduire des implants mammaires ou pour réaliser des corrections nécessitant une intervention plus importante.

Incision péri-aréolaire avec extension verticale (T inversé) :
Cette technique combine une incision péri-aréolaire avec une incision verticale descendant jusqu’au sillon sous-mammaire. Elle est particulièrement adaptée pour les cas de tubérosité sévère, permettant un remodelage plus étendu du sein et une correction optimale.

Expansion et remodelage de la glande mammaire :
Le tissu glandulaire mammaire, partie fonctionnelle des seins responsable de la production de lait, est remanié et remonté lors d’un remodelage. Cette intervention vise à restaurer la forme naturelle et la projection harmonieuse des seins.

Pose d’un implant mammaire :
L’implant est positionné en configuration dual plane, c’est-à-dire à la fois sous le muscle pectoral et derrière la glande mammaire remodelée, permettant d’obtenir un équilibre entre volume et forme.

Lipofilling :
Le transfert de tissu adipeux consiste à injecter de la graisse sous la peau et autour de la glande mammaire, tout en préservant le muscle sous-jacent. Cette technique améliore la forme, le volume, et le contour naturel du sein.

Les résultats définitifs de l’intervention ne peuvent être pleinement appréciés qu’au bout d’un an. Il est essentiel de faire preuve de patience, notamment pour permettre aux cicatrices de s’atténuer progressivement.

Pendant cette période, un suivi régulier est fortement recommandé, avec des consultations programmées environ tous les trois mois sur une année. Ces rendez-vous permettent de :

• Surveiller l’évolution des résultats.
• S’assurer que la guérison suit son cours normal.

Ce suivi attentif est indispensable pour garantir le succès de l’intervention et anticiper d’éventuels ajustements si nécessaire.

Les cicatrices sont positionnées de manière à être dissimulées dans les plis naturels du corps. Toutefois, il est essentiel de les masser régulièrement surtout pendant les 3 premiers mois et de les protéger du soleil pendant au moins un an en utilisant une crème solaire avec un indice de protection élevé de 50+. Cela permet de prévenir toute pigmentation excessive ou altération de la cicatrice pendant la phase de guérison.

Le Docteur STIVALA utilise régulièrement le laser UrgoTouch^® afin d’obtenir un meilleur résultat cicatriciel.

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Après l’intervention, des fils résorbables sont utilisés pour les sutures, ce qui élimine le besoin d’utiliser des agrafes ou des fils visibles. Seule une boucle à chaque extrémité de la cicatrice est maintenue en place pendant environ 15 jours pour favoriser la cicatrisation.

Aucun drainage n’est généralement requis sauf cas particulier.

Les douleurs après l’intervention varient selon les individus, mais elles restent généralement supportables grâce à un traitement adapté. Les symptômes courants incluent :

• Une tension au niveau de la zone opérée.
• Des courbatures.
• Parfois, une légère gêne lors de l’inspiration profonde.

Un suivi médical régulier permettra d’ajuster le traitement en fonction de vos besoins, assurant ainsi un soulagement optimal et une récupération confortable.

Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications peuvent survenir. Le Docteur Stivala sera là pour vous accompagner et vous proposer une prise en charge adaptée.

Il est essentiel de distinguer :

・Les suites post-opératoires habituelles telles que les hématomes, les gonflements, les courbatures et une diminution temporaire de la sensibilité cutanée.

・Les risques post-opératoires à court terme incluent les infections, les saignements, la nécrose cutanée, les retards de cicatrisation et les écoulements.

・Les risques post-opératoires à long terme comprennent l’asymétrie, les écoulements lymphatiques et le rejet du matériel de suture.

• Amélioration de l’apparence esthétique
• Correction des asymétries mammaires
• Restauration ou augmentation du volume des seins
• Optimisation de la projection mammaire
• Réduction des complexes psychologiques liés à l’apparence
• Harmonisation globale de la silhouette

Objectif de l’intervention :
L’objectif principal est d’améliorer l’apparence des seins, sans viser une perfection absolue. Si vos attentes sont réalistes et que vous acceptez la possibilité de cicatrices, vous devriez être satisfait(e) du résultat obtenu.

Complexité des cas :
Les seins tubéreux présentent une diversité de caractéristiques et de degrés de sévérité. Chaque cas étant unique, les situations plus complexes peuvent nécessiter plusieurs interventions chirurgicales pour atteindre un résultat optimal. Dans certains cas, une correction complète des imperfections peut ne pas être réalisable.

Asymétrie résiduelle :
Malgré les efforts chirurgicaux, une asymétrie légère entre les deux seins peut persister après la correction.

Limites anatomiques :
Les possibilités de modification en termes de forme et de taille des seins sont parfois limitées par des facteurs anatomiques. Il est essentiel d’avoir des attentes réalistes quant aux résultats possibles, tout en comprenant que la perfection esthétique ne peut pas toujours être atteinte.

Il est essentiel de cesser de fumer au moins un mois avant et après la procédure pour réduire les risques de thrombo-phlébite et de complications de cicatrisation. De plus, l’utilisation d’aspirine, d’anti-inflammatoires ou d’anticoagulants est à éviter dans les 15 jours précédant l’intervention afin de minimiser le risque d’hémorragie. En outre, l’arrêt de la contraception orale est recommandé un mois avant l’intervention pour réduire le risque de thrombo-embolie.